Boursiers David Suzuki

Recherche. Collaboration. Influence.

À propos

David Suzuki a passé une bonne partie de sa vie à l’avant-scène de l’activisme environnemental. Connu pour son talent de vulgarisateur scientifique, il a éveillé l’intérêt pour la science de millions de personnes à travers le monde et les a motivées à agir concrètement pour protéger la planète. Aujourd’hui encore, il continue de sensibiliser des gens de toutes générations à l’interdépendance de l’humain avec la nature.

C’est inspirée par cette action que le programme de bourses David Suzuki aide la prochaine génération de leaders à trouver des solutions aux grands enjeux environnementaux. Nos boursiers incarnent la rigueur scientifique de David Suzuki et sa capacité à motiver les gens à agir pour notre planète.

BOURSIERS 2021-2022

Annabel Webb

Annabel Webb, candidate au doctorat

Chercheuse en droits humains

Annabel prépare un doctorat interdisciplinaire en droit international des droits humains à l’Université de Londres. Elle est titulaire d’une maîtrise en droit international des droits humains de l’Université d’Oxford, ainsi que d’une maîtrise et d’un baccalauréat en arts de l’Université de la Colombie-Britannique. Annabel défend les droits des femmes et des jeunes filles depuis plus de vingt ans.

Dans le cadre de sa bourse de recherche, Annabel se concentrera sur l’utilisation des lois nationales et internationales existantes en matière de droits humains pour promouvoir la justice environnementale intergénérationnelle au Canada.

Zoe Craig-Sparrow

Zoë Craig-Sparrow

Chercheuse en droits environnementaux et droit autochtone

Zoë Craig-Sparrow est titulaire d’un baccalauréat en sciences politiques de l’Université de la Colombie-Britannique, d’une maîtrise en droits humains de l’Université de Londres (obtenue avec distinction) et poursuit actuellement un doctorat en droits humains. Zoë est membre de la bande autochtone de Musqueam, elle est née et a grandi dans la réserve de Vancouver, en Colombie-Britannique. Elle défend la justice climatique et les droits des enfants, des femmes et des peuples autochtones depuis son enfance, elle s’est notamment rendue aux Nations unies pour présenter un mémoire au Comité des droits de l’enfant de l’ONU à l’âge de 15 ans.

Dans le cadre de sa bourse de recherche, Zoë se concentrera sur la relation entre génocide et écocide au Canada. Elle mettra notamment l’accent sur la relation entre les droits des filles et des femmes et l’environnement, en particulier en ce qui concerne les communautés autochtones, ainsi que les femmes et les filles autochtones disparues et assassinées (MMIWG).

BOURSIERS 2020-2021

Maial Panhpunu Paiakan Kaiapo

Maial Panhpunu Paiakan Kaiapo

Boursière en droits autochtones

Compte tenu de l’urgence de la crise environnementale et des droits de l’homme en Amazonie, en 2020-2021, la Fondation a attribué une bourse en droits autochtones orientée vers la protection de la terre et des populations de l’Amazonie.

Nous sommes honorés de décerner cette bourse à Maial Panhpunu Paiakan Kaiapo du peuple Kayapo, dans l’État de Para, en Amazonie brésilienne. Première chercheuse autochtone internationale de la Fondation David Suzuki, elle est diplômée en droit et travaille à la promotion des droits humains et environnementaux des communautés autochtones.

Boursiers 2019-2020

Eric Miller

Eric Miller, Maîtrise en études environnementales

Boursier en économie environnementale

Eric Miller est titulaire d’une maîtrise en études environnementales de l’Université York, d’un baccalauréat en économie (avec distinction) de l’Université McMaster et d’un baccalauréat en biologie de l’Université Carleton. En tant que directeur de cours et chercheur à l’Université York, il dirige un projet mondial sur l’empreinte écologique.

Grâce à cette bourse de recherche, il focalisera ses efforts sur l’amélioration des connaissances du public en matière d’économie écologique afin de comprendre les concepts, les mesures et les perspectives qui relient les économies aux écosystèmes et à la conservation de la nature.

Priscilla Settee

Priscilla Settee, Doctorat

Boursière en connaissances autochtones et changements climatiques

Priscilla Settee a obtenu un doctorat à l’Université de la Saskatchewan, une maîtrise en éducation à l’Université du Manitoba, un baccalauréat en éducation à l’Université de la Saskatchewan et un baccalauréat ès arts à l’Université de Guelph. Moskégonne de Cumberland House, elle défend les droits des Autochtones, les droits des femmes et les droits environnementaux; elle est professeure en études autochtones à l’Université de la Saskatchewan et professeure associée au Natural Resource Institute de l’Université du Manitoba.

Cette bourse de recherche lui permettra de se pencher sur la mise en commun des connaissances autochtones locales pour appuyer la surveillance des changements climatiques et identifier des solutions dans l’ensemble des territoires autochtones.

Annabel Webb

Annabel Webb, candidate au doctorat

Boursière en droits environnementaux

Annabel Webb prépare un doctorat interdisciplinaire en droit international des droits de la personne à l’Université de London. Elle possède une maîtrise en droit international des droits de la personne de l’Université Oxford, ainsi qu’une maîtrise ès arts et un baccalauréat ès arts de l’Université de la Colombie-Britannique. Depuis plus de 20 ans, elle milite en faveur des droits des femmes et des filles.

Grâce à cette bourse de recherche, elle examinera l’utilisation des lois nationales et internationales existantes en matière de droits de la personne afin de promouvoir la justice environnementale intergénérationnelle au Canada.

Boursiers 2018-2019

Maxime Fortin Faubert

Maxime Fortin Faubert, candidat au doctorat en biologie

Boursier en adaptation aux changements climatiques et villes durables

Dans le cadre de son doctorat en biologie à l’Université de Montréal, Maxime se penche sur les phytotechnologies. Son but ? Mettre au point des solutions biotechnologiques novatrices et durables au moyen de plantes et de champignons pour décontaminer les sols et combattre les changements climatiques.

Grâce à cette bourse de recherche, Maxime brossera le portrait actuel des sols contaminés sur l’île de Montréal pour repérer les espaces vacants qui contribuent le plus aux îlots de chaleur et déterminer lesquels pourraient être transformés en espaces verts pour améliorer le niveau de résilience de Montréal face aux changements climatiques.

Nicole Davies

Nicole Davies, Maîtrise en gouvernance autochtone

Boursière en connaissances autochtones et changements climatiques

Nicole (Anishinaabe et Métis) est titulaire d’une maîtrise de l’Université de Victoria en gouvernance autochtone spécialisée en revitalisation des savoirs traditionnels liés aux territoire, en restauration écologique, en plantes médicinales et en écologie queer autochtone.

Grâce à cette bourse de recherche, Nicole se penchera sur les conditions et les effets des approches autochtones en ce qui a trait à la souveraineté alimentaire et à la restauration écologique, ainsi que sur les obstacles que doivent surmonter les communautés pour redonner vie à leurs pratiques. Elle mettra toute la richesse de sa recherche au service des initiatives de subsistance durable de la communauté et à l’élaboration d’une éthique et de protocoles pour orienter les solutions aux changements climatiques et établir des partenariats fructueux.

Tara Mahoney

Tara Mahoney, candidate au doctorat

Boursière en communication sur les changements climatiques

Tara poursuit un doctorat en communications à l’Université Simon Fraser axé sur les nouvelles formes que revêt la culture politique participative au Canada. Titulaire d’un baccalauréat en relations internationales de l’Université de Calgary, d’une maîtrise en production multimédia de l’Université Ryerson et d’un certificat en dialogue et en engagement civique de l’Université Simon Fraser, Tara est également la cofondatrice et la directrice artistique de Gen Why Media.

Grâce à cette bourse de recherche, Tara puisera dans la recherche qualitative, la cartographie, l’externalisation ouverte et l’accroche narrative numérique pour mieux comprendre comment tirer parti des médias et de la culture de manière à investir les défenseurs des énergies renouvelables du pouvoir d’agir.

Boursiers 2017-2018

Brett Dolter

Brett Dolter, PhD en économie environnementale

Boursier en économie des changements climatiques

Brett détient une maîtrise en gestion des ressources et sciences de l’environnement de l’Université de la Colombie-Britannique, une maîtrise en économie de l’Université de Victoria et un doctorat en économie environnementale de l’Université York. Il est actuellement chercheur affilié à l’Université d’Ottawa.

Dans le cadre de sa bourse, Brett étudiera le rôle des services d’électricité dans la facilitation de la distribution d’énergies renouvelables. Il examinera les effets de la concurrence en matière de tarification du carbone et déterminera l’impact des débats sur l’avenir énergétique du Canada.

Melina Laboucan-Massimo

Melina Laboucan-Massimo, M.A. en gouvernance autochtone

Bourse en connaisssances autochtones et changements climatiques

Melina détient une maîtrise en gouvernance autochtone avec spécialisation en énergies renouvelables dans les communautés des Premières nations. Elle possède également plus de 15 ans d’expérience auprès des communautés autochtones en planification de projets et de campagnes. L’aboutissement de son mémoire de maîtrise était la réalisation d’une installation solaire de 20,8 kilowatts dans sa communauté de Little Buffalo, au nord de l’Alberta. 

Melina étudiera des modèles d’énergie renouvelable pouvant être reproduits dans les communautés, fera des pressions pour l’établissement de politiques plus progressives en matière d’énergies renouvelables et mettra en œuvre des projets d’énergie renouvelable dans les collectivités partout au Canada. 

Jérôme Laviolette

Jérôme Laviolette, M.A. en Science appliquées

Boursier en transports et changements climatiques

Ingénieur civil de formation, M. Laviolette détient une maîtrise en sciences appliquées de Polytechnique Montréal. Son mémoire fait appel aux données GPS pour mieux cerner le profil demande-offre de l’industrie du taxi.

M. Laviolette tentera de mieux comprendre la dépendance individuelle des gens à l’automobile ainsi que les obstacles et les occasions de changer ce comportement. Il travaillera de près avec le Regroupement national des conseils régionaux de l’environnement du Québec et le Centre interdisciplinaire de recherche en opérationnalisation du développement durable, deux organisations importantes sur le plan des enjeux environnementaux et de transport au Québec.